Nadine BELZIDSKY : Ancienne Présidente de l’ANAAFA
Petits et moyens cabinets restent les plus nombreux dans notre profession. Sensibles aux aléas économiques, ils reportent –bon gré, mal gré- les nécessités de restriction sur le nombre des collaborateurs.
Les collaborateurs ont besoin d’être sécurisés, de ne pas aborder leur parcours professionnel comme une course de handicap. Leur année de collaboration qui s’arrête a déjà généré comme pour nous tous, les charges de l’année N+1. Qu’il s’agisse alors pour eux du délai nécessaire pour trouver une nouvelle collaboration ou d’une décision provoquée de s’installer, l’existence d’une épargne-collaborateur pourrait constituer une véritable sauvegarde.
Pour tous ceux qui souhaitent s’installer, ce serait le financement de base.
Le cabinet provisionnerait fiscalement et financièrement sur un compte rémunéré une fraction de la rétrocession annuelle de chaque collaborateur. Défiscalisée pour l’avocat qui verse, non encore fiscalisée chez le collaborateur qui ne l’a pas reçue, exempte par le fait des charges sociales, on pourrait imaginer que cette épargne soit définitivement exonérée d’impôt et de charges sociales, si les fonds restaient bloqués trois ans au moins.
Gagner en sérénité en terme de gestion,
Pour pouvoir libérer ses capacités d’exercice de la Profession :
C’était mon credo pendant mes années de présidence de l’ANAAFA.
Cela reste un véritable enjeu au cœur de mes convictions.
Petits et moyens cabinets restent les plus nombreux dans notre profession.
Sensibles aux aléas économiques, ils reportent –bon gré, mal gré- les nécessités de restriction sur le nombre des collaborateurs.
Les collaborateurs ont besoin d’être sécurisés, de ne pas aborder leur parcours professionnel comme une course de handicap.
Leur année de collaboration qui s’arrête a déjà généré comme pour nous tous, les charges de l’année N+1.
Qu’il s’agisse alors pour eux du délai nécessaire pour trouver une nouvelle collaboration ou d’une décision provoquée de s’installer, l’existence d’une épargne-collaborateur pourrait constituer une véritable sauvegarde.
Pour tous ceux qui souhaitent s’installer, ce serait le financement de base.
Le cabinet provisionnerait fiscalement et financièrement sur un compte rémunéré une fraction de la rétrocession annuelle de chaque collaborateur.
Défiscalisée pour l’avocat qui verse, non encore fiscalisée chez le collaborateur qui ne l’a pas reçue, exempte par le fait des charges sociales, on pourrait imaginer que cette épargne soit définitivement exonérée d’impôt et de charges sociales, si les fonds restaient bloqués trois ans au moins.
Gagner en sérénité en terme de gestion,
Pour pouvoir libérer ses capacités d’exercice de la Profession :
C’était mon credo pendant mes années de présidence de l’ANAAFA.
Cela reste un véritable enjeu au cœur de mes convictions.
Nadine BELZIDSKY
Avocat à la Cour
Ancienne Présidente de l’ANAAFA